Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (121)

Je suis dans un hôtel avec un client qui se paye une pute pour une nuit comme l’on se sert d’un paquet de mouchoirs en papier.
Ce genre de client n’est utile que pour mon portefeuille sans pour autant m’amuser comme il m’arrive souvent de le faire avec des clients ayant de l’imagination.
Comme je l’ai dit, c’est classiquement qu’après m’avoir donné mon argent il me laisse aller dans la salle de bain et quand je ressors il a sa bite en main attendant pour m’enfiler comme une vulgaire poupée gonflable.
Je le suce, il m’enfile, il éjacule très vite faisant partie de cette catégorie qui aime humilier les femmes.

• Tire-toi salope, tu n’es rien qu’une pute.

Des fous, payer si cher pour m’humilier même si je n’en ai rien à foutre je suis frustrée.
Habiller je quitte sa chambre et l’hôtel ma valise en main qui est restée fermée.
J’ai le blues et j’aime l’atmosphère des gares, naturellement au lieu de rentrer à Chennevières je rentre dans la salle des pas perdus.
Je vais de quai en quai remontant des TGV sans jamais monter dans l’un d’eux pour finir à la brasserie où je m’assoie au comptoir.
Je commande un café que je bois tranquillement ayant horreur du café chaud.
Je bous intérieurement, malgré l'heure avancée, quand je me retourne pour regarder la salle l’un des clients mange un steak qu’il coupe méticuleusement avec un couteau tellement tranchant que l’idée me vient de lui emprunter et de retourner dans la chambre que je viens de quitter.
Je me résonne surtout que près de moi viens d'arriver un jeune homme, un noir aussi noir qu’Adonis un peu moins baraqué.

• Vous êtes seule.
• Çà se voit !
• Attendez-vous un train, le premier part à 6 heures ?
• Oui j’ai loupé le dernier.
• Où allez-vous ?
• Là ou me porte le vent.
• Voulez-vous que nous allions dans un hôtel passer la nuit ?
• Et vous me montrerez votre gros engin.


• Grosse non normale, mais les femmes que je rencontre me disent que je suis un bon amant.

Ce coup semble foireux, je sens que j’ai affaire à une pute mâle qui cherche du fric.

• Tu prends combien ?
• 500 plus la chambre et si tu ais satisfaite le petit déjeuner.

Incroyable, une pute se fait draguer par une autre pute, mais le garçon semble si confiant dans ses possibilités sexuelles que j’accepte prenant cela comme un jeu.
Je l’entraîne vers l’hôtel que je viens de quitter.

• Va m’attendre vers les ascenseurs, j’arrive, je vais réserver une chambre.

Mon grand black fait ce que je lui dis.
Quelle stupeur a le portier de nuit quand je lui demande une chambre alors qu’il sait qui je suis venue plusieurs fois pour rencontrer des clients, quand je demande un numéro de chambre ou un nom que l’organisation m’a donné comme ce soir le 229.

• Votre chambre 229 est libre, le monsieur qui y était est parti comme chaque fois qu’il vient chez nous, on va éviter de se mentir, il vient régulièrement se fait une pute, excusez, dès qu’elle est descendue quelques minutes après il part jusqu’à la fois suivante.
Vous m’avez demandé la 229, je vous donne votre clef bonne nuit.

Et avec un sourire ironique.

• Passez une bonne nuit.

J’ouvre mon sac à main et je sors 50 € que je lui glisse discrètement avant de rejoindre les ascenseurs.
Je connais le chemin de la chambre et quand j’ouvre mon black semble étonné de voir le lit en désordre mais il semble être assez pro pour éviter toute question comme moi en mêmes circonstances j’aurais eu la même réaction.
Nous entrons et par jeu, j’attends qu’il réagisse.

• La salle de bain est là.

Je lui montre la porte l’ayant moi-même passé il y a peu.

• Qu’est-ce que tu attends ?
• Mon pognon, on paye d’avance.
• Et si tu me baises mal.
• Tu partiras sans m’offrir de petit déjeuner mais je vais te faire monter au rideau.


Assez jouée, j’ouvre de nouveau mon sac et récupère 500 des 2 000 € que m’a donné mon client de la nuit, il les prend et les mets dans sa poche de jean un peu crade mais je suis montée me faire baiser et ce détail me passe au-dessus de la tête.
Au moment où les billets passent de ma main vers la sienne, je ressens ce que doit ressentir ce garçon car depuis que j’ai trouvé des billets sur ma table de nuit en ayant fait la pute sans le savoir piégée par Valérie, je sais l’effet que ce geste représente surtout qu’à la différence de moi lui semble avoir besoin de cet argent.
J’ai décidé de jouer la cliente attendant que sa pute s’occupe d’elle comme moi je le fais maintenant alors que dans mes premières passes j’étais un peu maladroite.

• Veux-tu que je te déshabille ?
• Je t’ai payée pour cela.

Il m’enlève prestement mes affaires.

• Occupe-toi de mes seins ils me font mal d’envie, tu peux être un peu rude.

Il en prend un dans sa main et l’autre dans sa bouche, il va même rapidement jusqu’à mordiller la pointe qui réagit en bandant.

• Ta langue fait là tournoyer, va de l’un à l’autre de plus en plus vite.

Je sais que je suis une cliente chiante comme j’en rencontre certains jours dans mes soirées qui me donnent des ordres souvent contradictoires, j’ai assez joué alors je le laisse s'occuper de moi.
Il m’entraîne sur le lit où je tombe à la renverse les jambes reposant sur la moquette.

• Relève tes jambes et écarte-les, je veux que tu sentes la position indécente que je vais te faire prendre, j’ignore si tu es mariée et je m’en fiche mais je sais que les femmes de bonne famille quand elle se paye un mec comme moi espèrent ces positions que leur régulier leur refuse.

Je suis ses ordres et il est vrai que cette position que je prends souvent car cela existe les hommes est complétement différente cérébralement pour moi quand je m’y mets de façon à plaire à mon client.

Dès que l’écartement est suffisant sa langue partie de mes seins vient trouver mon bouton, il est vrai qu’il est doué pour sucer les femmes voire les hommes car je pense que pour un garçon qui fait ce métier surtout dans la rue, il doit avoir du mal à échapper à la promiscuité.
Il s’attarde me faisant partir dans une première jouissance mais nettement insuffisante pour que j’en aie pour mon argent.
C’est jouissif de me dire que le corps de ce garçon bien proportionné m’appartient pour une nuit, que je peux en disposer comme bon me semble et qu’il me suffit de lui donner un ordre pour qu’il s’exécute.

• Vas-y, baise-moi.

Je vois cette queue noire s’avancer vers moi et pour mieux en profiter j’att un oreiller pour relever ma tête. Pendant ce temps il récupère une capote dans son jean et prestement se l’enfile, il est bien monté il est vrai mais moins qu’Adonis, c’est presque normal, il est une exception de la nature surtout quand je le vois prendre ma petite Anne, on dirait une petite souris baisée par un gros rat.
Dès qu’il touche mes grandes lèvres et qu’il pousse pour les écarter je sens ma chatte commencer à ruisseler ma cyprine humidifiant mon vagin où il entre d’une seule poussée.
Est-ce le fait de payer pour qu’il me baise mais mon plaisir est différent que celui que je prends avec mes clients mâles ou mes amants qui se sont occupés de moi et de nous les filles tout au long de nos vacances dans ma villa.
C’est vrai qu’il est doué et s’il continue comme cela le petit déjeuner lui sera acquis.
D’un coup une boule monte de mon ventre alors qu’il me laboure avec fermeté me tenant par les hanches.
Pourquoi décide-t-il de se retirer alors que je sur le point d’éclater ?

• Retourne-toi, mets-toi à quatre pattes, si ton mari ignore la levrette je suis un champion, tu vas mieux me sentir au fond de ta putain de chatte.
Dis-moi que tu es une fille de pute et pute toi-même.

Je veux voir jusqu’à où il va aller pour me rabaisser et j’ignore ses propos par contre je me retourne et j’accède à ses désirs sur la position.

Pour lui il doit penser avoir entre les mains une bourgeoise ayant loupé son train et qui décide de lâcher les vannes pour une nuit d’orgie avec lui.
J’attends qu’il entre en moi mais il joue le même jeu que lorsque je me refuse à un client pour quelques secondes avant de la laisser venir en moi pour mieux l’exciter.
Dans la position où je suis va-t-il oser me sodomiser, il entre en moi et je sens avec plaisir qu’il glisse un doigt dans ma rosette qui bave de désir.

• Tu sembles aimer mon doigt dans le cul, veux-tu que j’y mette ma bite.

Grand fou, vas-y, tu vas voir quand tu vas me pénétrer comment tu rentres facilement, depuis que Boris que je vais retrouver mardi avec les filles m’a pris ma fleur anale pour 10 000 € le nombre de fois ou des garçons m’ont sodomisées sont incalculables.
Il pousse et comme je le présentais il semble surpris que ses couilles tapent mes fesses aussi facilement que lorsqu’il m’a pénétrée dans ma chatte.

• Cachottière tu aimes te faire prendre l’anus, je t’ai mal jugée tu es une fieffée salope.

Il revient dans ma chatte et je sens que ce coup-ci sera le bon, il va me faire partir et je suis sûre d’arriver à l’orgasme ce qui arrive dans les minutes suivantes rentabilisant mes 500 €.
Si je suis une pute qui sait très bien faire son boulot mon sexe noir dont j’ignore le nom est aussi professionnelle que moi et quand je tombe sur le lit de fatigue entièrement en sueur, il me rejoint et sans aucune pudeur nous nous embrassons pendant de longues minutes.
Je m’endors quelque temps rêvant qu’il bande encore et que le temps de reprendre mon souffle il va me faire repartir en me donnant son sperme qu’il a gardé en lui…

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